ANEMIE
Marguerite de Surany a une approche psychosomatique, mot qui vient du grec : psukhê, âme et sôma corps, des « maladies » et définie comme telle « l’anémie » :
Un dicton populaire dit : « il se ronge les sangs » pour décrire celui qui est sujet à la peur, facilement effrayé, se mine mentalement et ainsi s’anémie.
La tension nerveuse rend « rouge de colère », le sang chauffe, ou « vert de peur » le sang est figé et froid, ou « vide de sang », nom donné à l’anémie par les Chinois. C’est le sang qui est en insuffisance, en qualité et en quantité.
Dans l’idée asiatique, l’âme est dans le sang : l’anémie est une difficulté que rencontre l’âme à s’incarner ou à accepter son incarnation. Elle n’a pas envie de vivre.
Et cette difficulté joue sur l’assimilation de l’entourage : quand vous êtes heureux de vivre, aimant votre famille et la vie, vous êtes équilibré et vous avez du tonus ; votre sans est fort. Mais si vous ne pouvez ni les « avaler » ni les « digérer », votre âme est triste, elle a peur et votre sang est pauvre. A la même image, si vous mangez un bon repas, vous vous sentez bien et vous avez des forces tandis qu’un mauvais repas appauvrit.
Les troubles de digestion physique et affective, la peur émotionnelle, troublent le sang et causent l’anémie.
Toujours d’après Marguerite de Surany dans son livre : « Pour une médecine de l’âme » :
Notre cerveau commande ces ondes. Si vous êtes malade, le corps physique est victime d’une déchirure ou d’une blessure reçue par le corps éthérique parce que votre cerveau a fait une erreur en commandant et a « court circuité » le mouvement du méridien.
En alliant les méridiens (médecine chinoise) l’holistique, vous trouvez la cause de la maladie qui peut remonter à de très anciens temps. De même que les gênes sont transmissibles, ces gênes transportent une mémoire, mémoire qu’il est difficile de mettre à jour lorsque l’on est concerné et dans la vie que nous menons.
Là est un autre débat et bien d’autres écrivains, spécialistes, chercheurs font cette démarche.
SOURCE : Pour une médecine de l’âme de Marguerite de Surany
Eyaelle